- EAN13
- 9782226193995
- ISBN
- 978-2-226-19399-5
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 19/08/2009
- Collection
- Terres d'Amérique
- Nombre de pages
- 400
- Dimensions
- 23 x 15 x 3,6 cm
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 823.1
- Fiches UNIMARC
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Les saisons de la solitude
De Joseph Boyden
Traduit par Michel Lederer
Albin Michel
Terres d'Amérique
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Traduit en quinze langues, salué par Jim Harrison, Le chemin des âmes, premier roman aussi ambitieux qu’obsédant, a révélé Joseph Boyden comme l’un des meilleurs écrivains canadiens.
Les saisons de la solitude reprend la trame de cette œuvre puissante, entremêlant deux voix et deux destins : Will, pilote indien Cree, plongé dans le coma après une agression ; Annie, sa nièce, revenue d’un long et pénible voyage afin de veiller sur lui. Dans la communion silencieuse qui les unit, se lisent leurs drames et conflits les plus secrets. Prend alors forme une magnifique fresque, individuelle et familiale, qui nous entraîne de l’immensité sauvage des forêts canadiennes aux gratte-ciel de Manhattan.
Ce roman saisissant, porté par la poésie brute de Joseph Boyden et l’humanité de son regard, a été couronné à l’automne 2008 par le plus grand prix littéraire canadien, le Giller Prize.
Les saisons de la solitude reprend la trame de cette œuvre puissante, entremêlant deux voix et deux destins : Will, pilote indien Cree, plongé dans le coma après une agression ; Annie, sa nièce, revenue d’un long et pénible voyage afin de veiller sur lui. Dans la communion silencieuse qui les unit, se lisent leurs drames et conflits les plus secrets. Prend alors forme une magnifique fresque, individuelle et familiale, qui nous entraîne de l’immensité sauvage des forêts canadiennes aux gratte-ciel de Manhattan.
Ce roman saisissant, porté par la poésie brute de Joseph Boyden et l’humanité de son regard, a été couronné à l’automne 2008 par le plus grand prix littéraire canadien, le Giller Prize.
Commentaires des lecteurs
Entre tradition et modernité
« Moosonee. Le bout de la piste. Je le sens là, juste derrière les arbustes mes nièces. Ce n'est pas tellement loin dans la neige épaisse. Ici, on a une petite ville parfois triste et vorace. Tu as ton petit ...
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