Pages religieuses, Temps de paix & temps de guerre
EAN13
9791094912010
ISBN
979-10-94912-01-0
Éditeur
EDILYS
Date de publication
Nombre de pages
261
Dimensions
22 x 16 x 2 cm
Poids
402 g
Langue
français
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Pages religieuses

Temps de paix & temps de guerre

De

Edilys

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Temps de paix: Les 31 premiers chapitres consistent en morceaux choisis (pages de romans, extraits des conférences, articles etc.), excellente façon de découvrir l'auteur par ces Pages religieuses.Temps de guerre: Les 12 derniers sont des récits de la première guerre mondiale.C’est en 1915, alors qu’une Grande Guerre fait rage, que René Bazin publie ces Récits du temps de guerre, y joignant des extraits de ses œuvres antérieures. La corporation des publicistes chrétiens vient de le choisir pour président, et après avoir vu partir pour le front ses deux fils et l’un de ses gendres, il fait comme Albert de Mun et Maurice Barrès ; ne pouvant faire mieux, il met sa plume au service de la patrie. Dans l’Écho de Paris, il publie, de semaine en semaine, des articles pleins d’âme, d’espérance et de foi, qui sont pour ses compatriotes, ceux du front et ceux de l’arrière, un puissant tonique, car c’est un réconfort quand on souffre, de sentir qu’on est aimé et compris.« Je publie ce livre au milieu de la plus grande guerre que le monde ait vue, et qu’on a pu croire politique, mais qui apparaît déjà, et apparaîtra de plus en plus, comme une gigantesque bataille de principes opposés. Il ne se peut pas qu’il ne porte point la marque d’une telle époque. On l’y verra, en effet, dans les derniers chapitres. Ils sont un peu « ma part de guerre ». Ne pouvant me battre parmi les soldats, j’ai tâché du moins de soutenir les courages, de célébrer les actes d’héroïsme et la foi de nos armées, de montrer la puissance d’une France unanime, d’énumérer les raisons que nous avons d’espérer non seulement la victoire, mais la paix française. Ces douze études forment la seconde partie du livre, et n’en rompent pas l’unité. Car ce qui peut être dit de plus grand et de plus beau, en l’honneur de la France, se rattachera toujours à sa vocation séculaire, et se rangera naturellement sous un titre religieux. » R. Bazin
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