- EAN13
- 9782251454955
- ISBN
- 978-2-251-45495-5
- Éditeur
- Belles Lettres
- Date de publication
- 20/10/2023
- Nombre de pages
- 272
- Dimensions
- 19 x 12,3 x 2,2 cm
- Poids
- 272 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le 15 avril 2019, sous les yeux sidérés du monde entier, Notre- Dame de Paris brûlait. Si cet incendie est indiscutablement d’origine accidentelle, toutes les conditions pour qu’il survienne et prenne les dimensions que l’on connaît étaient réunies : un entretien insuffisant du monument, des économies effectuées aux dépens de la sécurité, un système anti-incendie peu performant et un chantier de restauration qui constituait un facteur de risques supplémentaires.
À travers le récit des faits, Didier Rykner s’intéresse à tous les aspects de ce drame. Comment a-t-il été possible et quelles en sont les causes probables ? Pourquoi a-t-il suscité autant de polémiques (les dons des grands mécènes, les délais, la reconstruction de la flèche, la loi d’exception, la pollution au plomb…), dont certaines (la question des abords ou les fouilles archéologiques) sont toujours d’actualité ?
Didier Rykner montre que le chantier de restauration se déroule malgré tout dans de bonnes conditions, avec un espoir de pouvoir entrer bientôt dans un édifice qui ne sera pas « plus beau » qu’avant, mais qui sera dans un état de conservation beaucoup plus satisfaisant, dont on aimerait qu’il soit aussi celui des autres monuments historiques.
Quelles leçons le ministère de la Culture et l’État ont tiré – ou pas – de cette catastrophe patrimoniale afin d’éviter que d’autres se produisent ?
À travers le récit des faits, Didier Rykner s’intéresse à tous les aspects de ce drame. Comment a-t-il été possible et quelles en sont les causes probables ? Pourquoi a-t-il suscité autant de polémiques (les dons des grands mécènes, les délais, la reconstruction de la flèche, la loi d’exception, la pollution au plomb…), dont certaines (la question des abords ou les fouilles archéologiques) sont toujours d’actualité ?
Didier Rykner montre que le chantier de restauration se déroule malgré tout dans de bonnes conditions, avec un espoir de pouvoir entrer bientôt dans un édifice qui ne sera pas « plus beau » qu’avant, mais qui sera dans un état de conservation beaucoup plus satisfaisant, dont on aimerait qu’il soit aussi celui des autres monuments historiques.
Quelles leçons le ministère de la Culture et l’État ont tiré – ou pas – de cette catastrophe patrimoniale afin d’éviter que d’autres se produisent ?
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